Nés en Chine (Critique)

  • Date de sortie au cinéma : 23 Août 2017
  • Durée du film :  1 Heure et 16 Minutes
  • Réalisé par : Lu Chuan
  • Avec : Claire Keim
  • Genre : Documentaire

Synopsis – Nés en Chine

Yaya, une maman panda géant guide son petit Mei Mei alors qu’il explore le monde et gagne en indépendance.
Tao Tao, un Rhinopithèque de Roxellane -plus communément appelé singe doré – âgé de deux ans cherche sa place au sein de sa famille  après la naissance de sa petite sœur
Dawa, une panthère des neiges – un animal mystérieux rarement observé par l’homme –confrontée à l’incroyable difficulté d’élever ses deux petits dans l’un des habitats les plus hostiles et les plus impitoyables du monde. 


Une dose de paysages spectaculaires filmés en panoramique avec des super zoom dignes des paparazzi, afin de rester éloigner des animaux le plus possible. Et sans perturber l’animal dans son habitat naturel, et encore moins sans l’en arracher. Alors que les ignares se précipitent dans les delphinariums, ou plus récemment dans un zoo « réputé » en France pour admirer le petit d’un pauvre panda privé de liberté et à qui l’on a fait subir toute une batterie d’expérience pour que la naissance ait lieue. On peut ici se réjouir devant les expressions du regard si différentes d’un panda géant qui a elle aussi un petit, né sans l’intervention de machines de tortures, sans soigneur (un métier inventé par le business animalier parce que le véritable métier qui consiste à soigner, prendre soin d’un animal, ça s’appelle « Vétérinaire ».) Bref, revenons à notre sujet : Disney a l’art, même dans un documentaire de raconter les histoires pour toucher toutes les générations. Filmé de façon époustouflante à coups de plans larges, de jeux d’ombres et de lumières, de vues plongeantes et contre-plongeantes toutes plus incroyables et renversantes.  On s’émeut devant tant de beauté animale, instinctive, mais aussi plaine d’amour, de domination, etc…

Malgré les événements heureux ou malheureux que réserve le grand tout à ces êtres de chair et de poil, la conclusion n’en reste pas moins pleine d’espoir.

 Enfin de vous jetez pas sur la sortie en fin de film, la magie continue pendant le générique avec des « bonus » sympathiques mais aussi amusants !

 

Aurélien.

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