Gerbes D’Amour (Critique)

Gerbes d’Amour

Avec Constance et Marie RENO

 

Jusqu’au 20 février 2018

Au Théâtre du Grand Point-Virgule

D’entrée de jeu, on sait à quoi s’attendre. En effet, dès l’annonce faite aux spectateurs pour les inviter à éteindre leur portable, le ton est donné. Sous un titre mignon, sous des filles qui jouent de l’innocence se cache un spectacle qui ne fait pas dans la dentelle et on aurait tort de s’en priver. Vous allez pouvoir travailler, avec force et bonheur, zygomatiques et autres muscles maxillaire. Sur des sujets graves tels que le viol, l’inceste et que sais-je encore, les titres chantés et composé par ce duo féminin ne manqueront pas de vous régaler. On rit quasiment tout le long du spectacle malgré la douleur qui survient dans les mâchoires à force de ne pas pouvoir contrôler le moment de cette innocente insolence. Méfiez-vous de l’eau qui dort !

L’histoire

Suite à un burn out, Constance remonte sur scène contre l’avis des médecins. Complètement grillée dans le milieu de l’humour, elle tente de se refaire un nom en s’attaquant à la chanson.
Dans cette nouvelle aventure, elle entraîne Marie RENO, une musicienne catholique toujours d’accord avec elle.
Belles, drôles et déjantées, elles vous emmènent dans une série de sketchs à la rencontre de personnages toujours plus décalés et hors normes, au rythme de chansons originales allant du rap à la bossa nova… 

 

 

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Aurélien.

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